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Bases anatomo-physiologiques :
Le système nerveux central et périphérique dépend pour son fonctionnement des nutriments contenus dans l’alimentation qui lui servent d’une part à assurer quotidiennement l’ensemble des fonctions nécessaires à l’organisme, et d’autre part à renouveler ses structures.
Il s’agit d’un organe « vivant », qui subit donc les altérations liées au vieillissement et au mode de vie ; le stress, les carences alimentaires, la mauvaise gestion des émotions, la pollution viennent tout particulièrement perturber le fonctionnement du système nerveux.
En pratique :
Les pathologies neurologiques fonctionnelles - migraines, céphalées, insomnie, état anxio-dépressif, fatigue, troubles de la mémoire, troubles vésico-sphinctériens, troubles de l’érection, douleurs, crampes et paresthésies - dépendent plus moins étroitement de dérèglements liés à l’alimentation et au stress.
Les pathologies organiques telles la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques et les pathologies plus rares sont également en cause mais ne surviennent que lorsque les désordres ont duré plus longtemps et qu’un certain affaiblissement des processus physiologiques de protections se manifeste. Les troubles neurologiques organiques ne surviennent en général que si un certain nombre de facteurs aggravants sont réunis et se potentialisent réciproquement.
Afin de caractériser les désordres nutritionnels intervenant dans le fonctionnement du système nerveux et leur retentissement, des bilans biologiques personnalisés sont possibles, permettant d’étudier le statut des neurotransmetteurs, du stress oxydant, des acides gras des membranes cellulaires et d’autres facteurs nutritionnels.
Pour plus d'informations : www.mediprevent.com
L’impact de l'alimentation actuelle sur la santé a été largement étudiée, mais de façon récente, en France et dans d’autres pays occidentaux. Il en ressort que, malgré une grande abondance des aliments et leur bonne conservation, elle est caractérisée par un appauvrissement en micro-nutriments (vitamines, minéraux…) et une richesse en composés chimiques indésirables : les « xénobiotiques » dont les métaux lourds (mercure, plomb, aluminium, nickel….) ne sont pas bien tolérés par l’organisme. De plus, des intolérances alimentaires viennent encore perturber le fonctionnement du tube digestif, dont on sait qu’il a des interconnexion et des interactions très étroites avec le système nerveux. Il est souvent appelé le « 2 ème cerveau ». Les intolérances alimentaires les plus fréquentes sont l’intolérance au lactose et à la caséine du lait et les intolérances au gluten de plus en plus fréquentes puisque les céréales, à l’exception du riz, en contiennent de plus en plus.
Après un interrogatoire et un examen clinique, des conseils alimentaires sont donnés aux patients ainsi que des traitements généraux - naturels ou chimiques - et micronutritionnels, adaptés en fonction du résultat des explorations biologiques.
A titre préventif, les mêmes préceptes thérapeutiques sont possibles pour lutter au mieux contre les effets du vieillissement.
http://www.docteur-aranda.com/
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